« Si j’étais la femme que je pense que je suis, c’est pas vrai que j’aurais laissé Antoine me toucher. J’aurais crissé mon camp. Je lui aurais donné un coup de botte dans la face. J’aurais essayé de l’étrangler. Je n’ai pas réussi l’épreuve que la vie m’a envoyée, je n’ai pas su me défendre. Maintenant l’univers me punit en me privant de mon sommeil réparateur. Bientôt, je serai tellement brisée qu’on ne pourra même pas me recycler. »